Refermons la parenthèse "Mainstream records" avec "The Jelly Bean Bandits", groupe de la côte Est et auteur d’un disque foutraque et spontané en 1967.
Issu d’une séance d’enregistrement marathon de douze heures, cet album, à l’énergie débordante, est un bel exemple de Freakbeat sous acide aux sonorités blues.
La chanson "Say Mann" s’impose comme le meilleur titre et s’avère une chronique lucide sur la dépendance aux drogues, responsable de l’atrophie mentale de ce toxicomane.
Say Mann