Nouvelle virée dans les nineties avec l'unique album de Ray Roche, totalement méconnu de la toile excepté par Popphil, fanatique de power pop que l’on ne présente plus. Cet Emitt Rhodes des années Clinton réussit le parfait équilibre entre puissance et délicatesse. Un album malheureusement trop court (6 bombinettes / 3 ballades) qui aurait mérité une suite.