Malgré son titre, "The First Not The Last" semble bien être la seule et unique contribution discographique d’Andy Jones, du moins sous son patronyme. Comme le souligne justement Patrick Lundborg dans la seconde édition d’Acid Archives, Andy s’adonne à un folk lyrique qui joue avec ses émotions et les nôtres. On jurerait par moment entendre les déchirements vocaux de Dino Valenti, même si ceux d'Andy ne parviennent jamais à atteindre la même intensité de souffrance. Vous l'aurez compris, "The First Not The Last" est un disque parsemé de brèches à la fois troublant et étourdissant qui s’invite régulièrement sur ma platine.